Dominant l'Adour, c'est la patrie des frères Darracq, écarteurs, et de Paul Daverat (1855-1890), un célèbre torero landais qui rénova les règles de la course landaise et contribua à lui donner son aspect actuel. Le château du Laurède, ou château Castetmerle, fut détruit à la Révolution. Il n'en reste aujourd'hui plus qu'une motte et un pin parasol. Le pin parasol signifiait que l'on se trouvait sur une terre de franc-alleu, c'est-à-dire un domaine libre. De nombreux édifices sont classés, comme la maison capcazalière Peyne du XVIIe siècle, l'église Saint-Jacques, l'île et les chênaies de l'Adour ou encore les vieilles arènes typiques.